6-Equivalence masse/énergie

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Fondements du Principe de l’équivalence masse/énergie

La création de particules par paires constitue une évidence qui semble n’avoir fait l’objet d’aucune interrogation elle même consécutive à une profonde surprise. Le principe de conservation de la parité dans les expériences de désintégration et de recréation de particules nouvelles est solidement acquit et se range aux côtés des principes structurants de la théorie physique comme celui de conservation de l’énergie.

I – L’origine de la matière et procédés de création.

La matière ne saurait surgir ex nihilo et procède nécessairement d’un changement d’état d’un autre objet. Ce surgissement ne peut provenir que d’une transmutation de l’état-lumière, se produisant selon certaines conditions qui en déterminent les effets.

Expérimentalement, on sait que la matière particulaire provient d’un changement d’état d’un photon mais également de mutations et chocs causés par des particules accélérées. Les nouveaux principes montrent seulement « en théorie » comment cette création est déductible de principes fondamentaux. Aussi, puisque les particules surgissent principalement par paires à partir d’un unique photon, c’est  qu’une contrainte les y oblige. De même si les particules n’apparaissent qu’à certains niveaux d’énergie c’est parce qu’il ne saurait exister des particules selon une gradation continue de l’énergie et qu’ainsi la Création est soumise aux exigences de seuils et de limites.

1- Le principe d’invariabilité de la masse trouve ici son fondement.

Ce principe d’invariabilité de  la masse des particules est capital pour comprendre leur fonctionnement. Si la masse des particules permanentes était variable, il pourrait s’en créer à différents niveaux d’énergie, ce qui n’a pas été observé. Il faut en déduire que électron, proton et neutron (dans l’atome) naissent avec une masse bien précise et ne subsistent qu’à cette condition, à la différence des particules éphémères. L’invariabilité de la masse-matière selon une valeur précise est une condition de la permanence des particules et partant de tout l’édifice universel.

Reste entier le mystère de savoir pourquoi seuls proton et électron (+v) peuvent demeurer et avoir une masse invariable à l’état libre (puisque le neutron libre se décompose en proton).

Pour comprendre la nécessité de construire toute la matérialité du monde avec seulement 3 particules, il suffit d’imaginer l’extrême complexité et les impasses auxquels auraient conduit les associations atomiques pouvant comprendre des masses dont chaque valeur peut varier à l’infini. Cependant, on peut supposer que l’univers aurait sans doute été d’une bien plus grande richesse. Il n’est pas a exclure qu’il soit possible de créer des particules de masses permanentes nouvelles, de créer ainsi de nouveaux atomes et par conséquent un nouveau type de matière.

2- Le principe de création par paires résulte d’une contrainte mécanique


Si deux objets apparaissent à partir d’un seul, c’est qu’il s’est opéré une scission. Cette division est celle  subie par l’unique photon a donc pour effet la création de deux particules de matière. Mais pour qu’une scission d’un objet se produise, il faut qu’interfèrent des causes tant internes qu’externes. On doit croire qu’une cause interne- l’atteinte d’un seuil d’énergie – interfère avec une cause externe – la résistance de l’espace. Cette résistance s’exerce par définition dans la direction opposée au mouvement rectiligne du photon et au lieu de son centre de « masse ». Elle a pour effet de le scinder en deux masses strictement égales lorsque l’énergie photon a atteint le seuil critique de rupture.  Etant donné que cette scission a pour effet de contraindre la masse-en-mouvement du photon à emprunter deux directions dans l’espace, il s’ensuit que cette orientation va conditionner le  mouvement final des particules. Cette divergence représente le passage d’un mouvement rectiligne du photon à deux mouvements circulaires dits de spin. Comme ce moment de création est celui de la transition Etat-lumière<>Matière, on doit en conclure que la différence d’état est fondamentalement une différence dans la nature de leur mouvement et que la matière proprement dite ne peut être que selon un état de mouvement qui est celui de rotation de la particule sur elle-même

L’égalité des masses -  le principe de parité – des deux particule et anti-particule trouve sa justification dans les conditions de leur création.

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Il est impossible de justifier le principe de parité si on ne fait pas intervenir une contrainte externe au photon qui le contraigne à la scission. En effet, si le photon ne rencontrait pas cette résistance de la prématière, il pourrait augmenter infiniment sa substance constitutive. Par ailleurs, un corps qui n’est soumis à aucune force externe ne trouve aucune cause pour justifier sa fragmentation. La physique contemporaine, qui refuse d’admette tout effectivité de l’espace, doit donc se réfugier dans le langage mathématique pour n’avoir pas à affronter l’explication  mécanique réelle qui seule peut fonder le principe de parité sur des bases solides.

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Mouvements de spin se manifestant par une rotation spirale

Cette description phénoménologique permet de comprendre la comptabilité des valeurs de spin de particules de la mécanique quantique. Il faut en effet que la mathématique recouvre une fonction dans le réel. Le photon est une  » particule  » de spin 1 qui se décompose en 2 fermions de spin +1/2, -1/2. Mais les mouvements de spin respectifs des particules et du photon ne sauraient être comparés. L’état lumière et l’état matière divergent profondément par la nature propre de leur mouvement. Le photon n’existe que par ce mouvement rectiligne, les particules de matière se distinguent par leur mouvement de rotation sur elles-mêmes.La rotation de la particule sur elle-même est le procédé mécanique qui lui permet de se constituer en masse dite au repos. On comprend alors pourquoi les particules ne sont pas  » grégaires  » puisque, dotées d’un mouvement de spin et d’une masse d’une valeur fixe, elles peuvent s’individualiser,  agir et réagir avec d’autres particules. A l’inverse les photons ne sont pas individualisables à partir d’une valeur de masse précise mais peuvent exister selon une gradation d’énergie et peuvent s’associer, s’agglomérer.

La mathématique du spin (1/2 pour les fermions, 1 pour les bosons) prend sens seulement si on sait que les fermions de spin ½ résulte de la scission d’un boson  de spin 1. Mais cette écriture formelle cache qu’il s’agit de deux types de mouvement radicalement différents.

L’opposition des spins est consécutive à la scission du photon

La création de particules s’effectue par paires et de spin opposé, à partir d’un photon en mouvement, constitue l’un mode contraint et nécessaire d’apparition de la matière permanente. La co-présence immédiate de la particule et de son antiparticule manifeste la résistance d’un milieu et justifie la théorie de la substance de l’espace.

Lors de la scission du photon géniteur, une moitié de sa masse s’enroule et spirale à droite, l’autre à gauche. La direction de spin est ce qui caractérise fondamentalement le sens de rotation d’une particule qu’elle hérite définitivement à sa naissance. On verra que le rôle capital que joue la mécanique du spin dans la définition de la charge et les modalités des liaisons atomiques et moléculaires.

II- L’équivalence masse/énergie

1- Critique de la notion relativiste de  conservation de l’énergie

Pour beaucoup de physiciens, l’équivalence masse-énergie est une évidence qui ne nécessite plus de démonstrations pour certifier sa validité. De même, la notion d’énergie est-elle une des plus confuse puisque jamais saisissable en l’absence d’un corps sur lequel s’effectue sa mesure. Pour la relativité, un photon est assimilé à un « grain d’énergie », l’onde électromagnétique étant pour sa part comprise comme de la « pure énergie ». Nous voulons analyser en profondeur ces évidences et montrer qu’une définition exacte de la nature de l’énergie doit nous ouvrir à une toute autre compréhension de l’équivalence masse/énergie

a) Nous savons depuis Einstein que la masse est l’équivalent de l’énergie. Ce terme pose immédiatement une difficulté majeure qui est celle du respect du principe d’identité. Une chose est selon ses propriétés et ne saurait être équivalente à aucune autre. L’équivalence ne peut être que d’ordre métaphysique.  L’énergie ne peut être l’équivalent de la matière, elles se transforment l’une en l’autre par changement d’état. Ces incertitudes conceptuelles, loin d’être anodines, cachent une réelle difficulté. Qu’en est-il en effet de l’état physique de l’énergie ? S’il est admis que la masse se transforme en énergie, comment déterminer le lieu, le volume, le poids, la forme de cet objet curieux dénommé énergie.

Car l’énergie à proprement parler n’existe pas comme objet: l’énergie double le concept de mouvement, l’énergie n’est que du mouvement.  Il nous est dit que dans une particule cette énergie est stockée sous forme de masse. L’équivalence est présentée tantôt sous le mode de l’identité – la masse est de l’énergie, tantôt sur celui du contenant – la masse contient de l’énergie ou encore qu’un corps transporte de l’énergie. Mais la question se pose immédiatement : comment une masse au repos peut-elle contenir, stocker, transporter  quelque chose comme du mouvement ? Si on remplace le terme d’énergie par sa véritable équivalence, le mouvement, on ne comprend plus très bien. Car le mouvement apparaît bien pour ce qu’il est: une véritable abstraction ne pouvant jamais être saisie indépendamment de l’objet qui se meut. Il peut y avoir une équivalence abstraite de la valeur d’un mouvement pour deux objets différents,  mais un objet ne peut se changer en son équivalent comme s’il passait d’un état de réalité à un état d’abstraction.

Il faut conclure que le principe de conservation de l’énergie ne suppose pas une  boite à l’intérieur de laquelle l’énergie est stockée comme des conserves dans une armoire.

(Dans tous les cas où nous avons énergie potentielle, nous avons des force en action, ce qui suppose qu’un mouvement, celui de particules par exemple, est en cours ou qu’il est retenu.).

La démonstration mathématique de l’équivalence masse/énergie a été faite par Einstein comme conséquence des lois relativistes du mouvement et en appliquant les transformations de Lorentz.. Ici aussi, les preuves mathématiques et expérimentales ont bien été apportées mais la description phénoménologique de cette équivalence fait défaut

2) Le principe de conservation de l’énergie signifie qu’il y a conservation du mouvement. Et seul  un mouvement qui est conservé peut se transmettre. Ce qui se conserve et se transmet, c’est toujours quelque chose en mouvement. Il n’y a rien d’extraordinaire, sinon un respect des principes de base de la physique classique. Car en suivant le raisonnement de la physique relativiste nous aboutirions au paradoxe suivant : Une masse au repos contient son équivalent en mouvement ce qui est logiquement inacceptable, sans autres explications. Si la masse au repos contient de l’énergie, c’est donc bien qu’elle est en mouvement. Hors ce complément d’explication, l’équation E = mc² reste incompréhensible pour qui veut approfondir le fonctionnement des particules et l’origine de l’énergie de masse.

La conservation de l’énergie implique qu’un corps soit  en mouvement ou que celui-ci soit retenu. Il ne s’agit donc pas d’une énergie potentielle mais d’une énergie réelle en train de s’exprimer.

Dès lors que le système d’énergie limité du photon transmet sa quantité de mouvement à un autre, de sorte qu’on dise qu’il y a conservation de l’énergie totale, on s’aperçoit que le principe de permanence de la masse suppose la conservation de le  mouvement interne de rotation par la masse elle-même.

3) Une masse, pour se constituer et demeurer en l’état de matière permanente doit acquérir puis conserver un mouvement interne de rotation. Une énergie finie d’expression illimitée, un mouvement de type perpétuel, participent à  la définition de la seule matière permanente. Ainsi, le principe de conservation de l’énergie doit admettre, pour sa fondation, la permanence d’un mouvement issu d’une énergie finie. Mais il s’agira de distinguer cette rotation de la particule d’un mouvement effectif de translation dans l’espace qui ne saurait lui être de nature infinie.

Cependant, cette énergie illimitée se doit d’être restreinte dès qu’on la saisit dans un temps. Dès lors qu’un système d’énergie ainsi délimité transmet sa quantité de mouvement à un autre, de sorte qu’on dit qu’il y a conservation de l’énergie totale, on s’aperçoit que ce principe conduit au mouvement de type illimité. S’il y a conservation de l’énergie et donc conservation du mouvement, cela veut dire que ce mouvement qui se transmet est lui même d’une durée indéterminée. Ainsi, la loi de conservation de l’énergie doit admettre pour sa fondation la permanence d’un mouvement illimité pour tout le temps de vie de la matière.  Cette loi implique que l’énergie ne se dissipe pas mais se transmet, ce qui suppose en son fond la persistance perpétuelle du mouvement. Dés lors que l’énergie de masse est restituée au photon et que nous la supposons conservée (que la résistance de la prématière ne diminue pas son intensité en proportion de la distance parcourue) le principe de conservation illimité de l’énergie est respecté.

2- Signification de l’équation E = MC²

Rotation-de-particule

La masse de la particule conserve l’énergie
pour autant que la particule soit en mouvement
de rotation sur elle-même.

Les particules ayant leur mouvement propre, il leur faut une énergie et celle-ci est héritée du photon. L’énergie du mouvement rectiligne est donc transmise et conservée en la forme d’un mouvement de rotation des particules sur elles-mêmes. Comme l’énergie est le carré d’une vitesse, que celle du photon est C, l’énergie de masse d’une particule sera nécessairement un quantum de C².

Aussi l’équivalence masse-énergie traduite par l’équation E=MC² signifie-t-elle qu’une quantité de matière M tourne sur elle-même à la vitesse C.

La différence entre bosons et fermions trouve ici sa justification. Un photon porté par une onde a un mouvement rectiligne, une particule tourne sur elle-même. Ce qui est conservé par la particule, c’est la valeur C de la vitesse du photon. On comprend alors mieux pourquoi l’équation E=MC² exprime la quantité d’énergie qui est conservée par la masse sous la forme de la conservation de son mouvement rotatoire.

La masse de la particule se conserve pour autant qu’elle persiste dans son mouvement de rotation. C’est là une propriété essentielle de la matière. Ainsi, l’état-lumière du photon (mouvement rectiligne) et l’état matière (rotation de spin) se distinguent-ils radicalement par la nature de leur mouvement.

Si on garde en mémoire le principe selon lequel l’énergie est mouvement de quelque chose, on est conduit à interroger plus méthodiquement chacun des phénomènes physiques. A n’en pas douter puisque s’agissant d’une énergie interne, il faut qu’existe un mouvement de celle-ci. Et s’il y a augmentation ou diminution de la masse-énergie, il faut que ses effets soient équivalents sur la masse-mouvement, sur la quantité de matière constituant une particule. Et comme nous traitons d’une masse invariante au repos il faut donc que son équivalence énergie corresponde à son équivalence mouvement. Nous devons conclure que l’équivalence masse-énergie d’Einstein ne prend pleinement sens que si cette masse est en mouvement. Comme il ne s’agit pas d’un mouvement de translation dans l’espace, il ne peut donc s’agit que d’un  » mouvement immobile « . Et le seul mouvement immobile que nous connaissons est le mouvement de rotation d’un corps sur lui-même. Pour les particules il ne pourra dès lors s’agir que de son  mouvement de spin.

3 – L’annihilation aboutie au mouvement inverse de la création

annihilation-particules

L’annihilation doit nécessairement apparaître  comme le processus physique inverse de la création particule-antiparticule. Elle résulte tout simplement de la destruction de leur mouvement de spin qui est opposé. Pour des raisons complexes que nous développerons postérieurement les deux particules ne peuvent se maintenir à distance et être satellisées l’une par l’autre ( du fait notamment qu’elles sont de masse identique ).

En se rapprochant et en fusionnant leur matière l’une dans l’autre, elles disparaissent comme masse-en-rotation et se transforment, se fondent, en deux photons dont le mouvement est rectiligne. C’est donc bien le processus inverse qui se produit et prouve que la matière ne peut exister que par son mouvement de spin. La création de deux particules s’effectue par la mise en rotation en sens opposé de la matière photonique. L’annihilation s’opère donc à nouveau par un rapprochement de ces particules tournant en sens contraire : tout se passe dans l’annihilation comme si nous repassions le film de la création à l’envers, que nous remontions le temps.

Puisque la conservation de l’énergie par la masse est conservation de son mouvement de spin, toute diminution de celui-ci qui ne résulterait pas de sa mise en commun avec une autre particule (énergie de liaison) a pour effet de porter atteinte à l’intégrité de la masse. Aussi, l’annihilation de toute matière permanente se manifeste par la transformation du mouvement de rotation en mouvement rectiligne de vitesse C par lequel on reconnaît le photon.

L’annihilation d’une particule ne peut donc avoir pour cause qu’une cessation de ce mouvement. Ainsi, la décomposition du neutron doit-elle avoir pour cause qu’une perturbation de son mouvement de spin, ce que l’expérience confirme.

Puisque la matière permanente est considérée comme un composé de photons de lumière et que ceux-ci se trouvent être une concrétion de prématière, on doit admettre que la matière est une condensation de prématière et qu’un espace plein de prématière représente une réserve infinie de matière, d’où elle surgit et où elle retourne, confirmant par là même que la matière ne procède pas d’une création ex nihilo.

4- Photon et matière

Ainsi, le photon est une ondulation rectiligne  DE l’espace ( qui se déplace avec ses ondes) , la matière un mouvement DANS l’espace. Il s’agit d’une différence fondamentale qui interdit au photon la possibilité d’avoir une quelconque masse matérielle. La différence quant à la nature de leur mouvement est essentielle pour caractériser bosons et fermions.

La masse-matière ne se constitue pour autant qu’elle garde intacte le mouvement transmis par le photon mais sous une forme rotatoire. Un photon porté par une onde a un mouvement rectiligne, une particule tourne sur elle-même. Ce qui est conservé par la particule, c’est la valeur C de la vitesse du photon. Elle indique que la matière n’a pas d’autre origine qu’un ébranlement de la substance de l’espace et que celui-ci s’effectue selon une ondulation qui se déplace à la vitesse de la lumière. La matière est donc consubstantielle à l’espace et ne se  présente pas comme une entité autonome ayant une origine sui generis

5- Moment magnétique et conservation de l’énergie

En physique quantique, on considère que les électrons et autres particules élémentaires possèdent leur propre moment magnétique. En effet, l’idée fondamentale du moment magnétique d’un système quantique repose sur le fait qu’on associe un moment magnétique à chaque particule chargée et pourvue d’un moment cinétique.

On peut transposer le lien entre le moment magnétique et le moment cinétique. Ainsi, au moment cinétique orbital d’une particule de charge q et de masse m est associé un moment magnétique orbital μL

Ici, moments magnétique et cinétique  » partagent d’intimes relations! » . On ne va pas jusqu’à dire que le moment cinétique est à l’origine du magnétisme de la particule, ce qui paraît évident puisqu’on peut se demander quelle est l’origine de ce magnétisme de la particule. En effet, si on rapproche le moment de spin avec la loi d’ampère, on constate que c’est le mouvement des électrons qui crée un champ magnétique. A l’évidence, c’est bien un mouvement et ici, la rotation de la particule qui crée le moment magnétique. Allant plus loin on peut se demander où la particule en rotation trouve son énergie pour alimenter son moment cinétique qui lui est permanent. Il ne peut s’agir que de l’énergie en provenance de la masse en rotation, cad de l’énergie de masse selon l’équation E = mc²

6- La rotation des particules : un mouvement de nature illimitée sans perte d’énergie.

2) La physique est bâtie sur l’idée d’énergie limitée ou plus exactement que toute manifestation d’énergie dans un système a pour origine la perte de la même quantité d’énergie dans un autre. Par ailleurs, un vieil interdit condamne tout mouvement perpétuel, tout en acceptant que la lumière puisse poursuivre infiniment sa route  ou que les astres poursuivent leur rotation continue, sans jamais s’interroger sur la nature infinie de cette énergie qui alimente leur mouvement.

Or nous constatons que le mouvement de spin des particules est constant, qu’il est la conséquence d’une énergie qui semble infinie et que ce mouvement continu n’a pas pour cause une perte  » dans un autre système « . Il faut donc admettre que la matière est animée par un mouvement de nature continu, ce qui est en parfait accord avec le principe de conservation de l’énergie par la masse, ce qui fonde le principe plus général de conservation de l’énergie. De fait, la particule conserve l’impulsion initiale à l’origine de sa création. Pourquoi les physiciens ne peuvent admettre cette permanence de la rotation de spin et surtout refusent-ils de la considérer comme un phénomène mécanique majeur ? C’est le refus de légitimer un  mouvement perpétuel qui a jusqu’à présent interdit de donner toute sa portée et son importance au spin des particules, au prétexte : qu’on ne voit pas vraiment tourner ces particules et que l’image de la toupie reste une image sans que l’on puisse dire qu’elles tournent réellement ainsi. (voir aussi plus bas la critique des calculs du rayons des particules qui prédisent que celles-ci tournerait plus vite que la vitesse de la lumière)

III – Le rôle fondamental du spin des particules.

Citation : « En mécanique quantique le spin est un opérateur vectoriel hermitien comportant trois composantes, référence aux trois axes de coordonnées cartésiennes de l’espace physique.La notion de spin a été introduite par Pauli en décembre 1924 pour l’électron afin d’expliquer un résultat expérimental qui restait incompréhensible dans le cadre naissant de la mécanique quantique non relativiste : l’effet Zeeman anormal. L’approche développée par Pauli consistait à introduire de façon ad-hoc le spin en ajoutant un postulat supplémentaire aux autres postulats de la mécanique quantique non relativiste (équation de Schrödinger, …).Historiquement, le spin a d’abord été interprété par Uhlenbeck et Goudsmit en septembre 1925 comme étant un moment cinétique intrinsèque, c’est-à-dire comme si la particule « tournait sur elle-même ». Cette vision classique d’une « rotation propre » de la particule est cependant trop naïve, on ne saurait considérer que la particule tourne sur elle-même. En effet, les calculs montrent que la vitesse de rotation d’un point situé à l’équateur de la particule dépasserait la vitesse de la lumière. «

Commentaires: Comme on le constate, la physique refuse d’attribuer au spin d’autre réalité que d’être un pur et simple objet mathématique. Pourtant, il s’agit bien d’un phénomène que les équations traduisent. La compréhension du fonctionnement mécanique des objets physique est occultée, la physique actuelle se contentant d’assurer une traduction mathématique des résultats d’expériences. Cette incohérence, cette hésitation sur la nature mécanique du phénomène est bien manifeste: ainsi on peut lire sur un site très officiel:

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Une des propriétés les plus intéressantes des particules est leur spin. Le taux d’interaction de deux particules qui entrent en collision, peut dépendre fortement de l’orientation relative des spins.

Le spin d’une particule est une quantité rigoureusement définie dans le cadre de la mécanique quantique, mais on peut imaginer plus simplement que la particule tourne sur elle-même, selon un axe défini. Dans la matière ordinaire les axes de rotation du spin des particules pointent dans des directions différentesLors de la scission du photon géniteur, une moitié de sa masse s’enroule et spirale à droite, l’autre à gauche. La direction de spin est ce qui caractérise fondamentalement le sens de rotation d’une particule qu’elle hérite définitivement à sa naissance. On verra que le rôle capital que joue la mécanique du spin dans la définition de la charge et les modalités des liaisons atomiques et moléculaires.

En mécanique quantique le spin est un opérateur vectoriel hermitien comportant trois composantes, référence aux trois axes de coordonnées cartésiennes de l’espace physique.La notion de spin a été introduite par Pauli en décembre 1924 pour l’électron afin d’expliquer un résultat expérimental qui restait incompréhensible dans le cadre naissant de la mécanique quantique non relativiste : l’effet Zeeman anormal. L’approche développée par Pauli consistait à introduire de façon ad-hoc le spin en ajoutant un postulat supplémentaire aux autres postulats de la mécanique quantique non relativiste (équation de Schrödinger), Historiquement, le spin a d’abord été interprété par Uhlenbeck et Goudsmit en septembre 1925 comme étant un moment cinétique intrinsèque, c’est-à-dire comme si la particule « tournait sur elle-même ». Cette vision classique d’une « rotation propre » de la particule serait cependant trop naïve, on ne saurait considérer que la particule tourne sur elle-même. En effet, les calculs montrent que la vitesse de rotation d’un point situé à l’équateur de la particule dépasserait la vitesse de la lumière.  ( pour une critique mathématique de cet argument  voir en fin de page : énergie de masse et spin des particules)

Comme on le constate, la physique refuse d’attribuer au spin d’autre réalité que d’être un pur et simple objet mathématique. Pourtant, il s’agit bien d’un phénomène que les équations traduisent. La compréhension du fonctionnement mécanique des objets physique est délibérément occultée, la physique officielle se contentant d’assurer une traduction mathématique des résultats d’expériences. Cette incohérence, cette hésitation sur la nature mécanique du phénomène est bien manifeste: ainsi on peut lire sur un site très officiel:

« Une des propriétés les plus intéressantes des particules est leur spin. Le taux d’interaction de deux particules qui entrent en collision, peut dépendre fortement de l’orientation relative des spins. »

Ainsi, le spin existe simplement  comme « objet » mathématique et n’a pas de réalité bien que ses équations traduisent la réalité d’un phénomène !

IV – La question de l’anti-matière

Le principe de création par paires particule-antiparticule est le mode contraint et nécessaire d’apparition de la matière. Mais il est d’évidence que l’antimatière n’est pas, car si elle était, l’Univers n’aurait pu exister, le monde ne serait que fusion et annihilation permanente. Nous devons concilier ces deux exigences apparemment contradictoires de création par paires et de non annihilation des particules jumelles.

Il se trouve ainsi obligatoirement une procédure de genèse primordiale des corpuscules par paires qui interdit leur annihilation et qui faciliterait même leur association. La parité vérifiée dans les accélérateurs de particules n’obéit pas au même protocole que celui à l’oeuvre dans la genèse « naturelle ». Dés lors, une telle égalité des masses n’est plus possible si l’axe de rupture du photon n’est plus central. Car si la création par paires est une mode nécessaire de création, rien ne nous oblige à penser qu’elles doivent être de masses égales. Cela signifie que la violation de la symétrie est un fait de nature assez courant. En effet, lorsque le photon se scinde en deux pour engendrer les particules,  l’égalité des masses particule/antiparticule suppose que le photon soit divisé en son milieu, ce que permet très justement son mouvement parfaitement rectiligne.

Pour donner naissance à des particules de masses inégales, le photon ne doit pas se scinder en son centre, ce qui suppose que son mouvement ne soit pas rectiligne, qu’il subisse une impulsion déplaçant l’axe de sa résistance : il faut qu’il soit émis par un objet incurvant fortement sa trajectoire. Dés lors seul un objet en rotation rapide peut émettre un photon dont le mouvement est notablement incurvé. Il faut admettre  que la parité peut se concilier avec la production de particules de masses inégales, et que cette distorsion doit étroitement dépendre des conditions du mouvement du photon géniteur.

proton-neutron Nous démontrerons dans la partie consacré à la cosmophysique que seul un astre en rotation très rapide est effectivement à l’origine de la production de deux particules de masse légèrement différente.

La création trinitaire simultanée s’impose logiquement puisque, à la différence du neutron, nous ne pouvons associer aucune anti-particule à l’électron. De fait dans la décomposition β-, (N>p+e+v),le proton et l’électron apparaissent simultanément, ce qui confirme notre hypothèse d’une absence d’anti-électron lors de la genèse primordiale. Comme il n’existe pas d’autre voie de recherche qui permette de concilier le principe de parité et le constat que la matière peut demeurer dans sa permanence sans s’annihiler, il devient évident que les proton (+) et neutron atomique (-) sont à l’origine antiparticule l’une de l’autre. La faible différence de masse entre ces deux particules plaide en faveur de cette solution comme étant la plus logique et la plus raisonnable. Pour ce qui concerne la physique des éléments premiers, il faut toujours rechercher le mécanisme le plus simple. L’hypothèse la plus complexe consisterait à dire qu’une partie des protons aurait échappé à l’annihilation et se serait « converti » en neutrons. Mais alors, que seraient devenus les anti-protons d’origine qui n’auraient pu rencontrer les protons ayant échappés à l’annihilation. Aucune explication satisfaisante n’ayant été fournie sur l’absence d’anti-matière, notre hypothèse parait la plus crédible.Si effectivement, les proton et neutron symétriquement créés ne s’annihilent pas, c’est qu’une cause mécanique l’interdit, et celle-ci est assurément leur différence de masse. Il en résulte qu’une légère inégalité des masses est la cause du maintien et de la survivance de l’édifice universel, ce qui implique que l’émission du photon de la genèse obéisse à des lois spécifiques. En se référant à la mécanique de la création, proton et neutron sont émis vers l’avant dans des directions opposées et leur mouvement est celui d’une spirale qui les conduit à se rencontrer en fin de parcours. Mais, comme il existe désormais une différence de masse, les deux particules ne peuvent s’annihiler et sont cette fois contraintes à s’unir. Si on admet que dans  la «fournaise initiale» les particules sont créées simultanément en nombre considérable, on peut fort bien conjecturer que la réunion P/N s’effectue par pairs et que l’hélium soit abondant comme produit initial.

La physique des particules traite avec indifférence proton et neutron et les considère comme interchangeables dans la mathématique dite de l’isospin. C’est ne rien comprendre au subtil équilibre qui autorise le maintient la stabilité de l’atome et partant assure l’existence et la stabilité de tout l’édifice de la matière universelle. Si le neutron avait la même masse que le proton et était de charge négative, se serait son anti-particule réelle et il s’annihilerait. Mais s’il possède réellement une charge négative et qu’il ne s’annihile pas, alors c’est la différence de masse qui autorise sa liaison.

L’électron à l’évidence ne dispose pas de son antiparticule dans l’univers. Comme on ne saurait imaginer sa genèse primordiale selon une procédure différente, et en d’autre lieux, la simplicité nous invite à considérer que les trois particules naissent simultanément à partir d’un unique processus qui est celui décrit pour les proton et neutron.

Nous avons supposé que  proton (+) et neutron (-) sont antiparticules l’une de l’autre à l’origine, L’électron (-) solitaire se détache dans un deuxième temps de la masse du proton et cet engendrement permet  d’expliquer la différence de masse entre proton et neutron, tout comme il éclaircit la différence de signe de charge entre proton (+) et électron (-) : celui-ci  emprunterait également une direction opposée. Le neutron interne à l’atome est par conséquent doté d’une charge négative qui interdit son association avec un électron. La conjugaison des charges est également respectée lors de la scission proton/électron, mais pas l’identité des masses.

Le fait qu’une association neutron/électron n’ait jamais été constatée

dans l’atome renforce considérablement cette hypothèse (le nombre d’électrons dépend uniquement du nombre de protons). Neutron et électron sont donc de même charge et se repoussent donc. Il faut ici faire une différence capitale entre le neutron atomique et le même neutron à l’état libre. Dans ce dernier état, le neutron est une particule qui se décompose et qui ne peut plus entretenir une liaison quelconque. Dans l’atome, on ne voit pas pourquoi seul le proton aurait charge  de liaison atomique. Et pour que la liaison soit possible, il faut qu’elle soit d’un signe opposé. L’attribution d’une charge négative au neutron est donc d’une évidente nécessité. Les deux particules doivent participer pour leur part à la force nucléaire.

La matière peut se constituer comme masse groupée en elle-même et le mouvement de spin assure en quelque sorte l’intégrité de cette masse, l’assurance de sa compacité. Mais, à  la différence du photon et de son cortège d’ondes, la rotation de la particule constitue un mouvement DANS l’espace et non DE la substance de l’espace. Dés lors, bien que tournant comme une toupie, elle n’effectue pas de translation dans l’espace. Comme corps au repos, elle n’a pas à affronter la résistance progressive de la prématière.

Pour donner naissance à des particules des masses inégales il faut que le photon ne soit pas brisé en son centre, ce qui suppose que son mouvement ne soit pas rectiligne, qu’il subisse une impulsion déplaçant l’axe de sa résistance : il faut qu’il soit émis par un objet incurvant fortement sa trajectoire. Dés lors seul un objet en rotation rapide peut émettre un photon dont le mouvement est notablement incurvé. Il faut donc admettre  que la parité peut se concilier avec la production de particules de masses inégales, et que cette distorsion doit étroitement dépendre des conditions du mouvement du photon géniteur. Nous démontrerons dans la partie consacré à la cosmophysique que seul un astre en rotation très rapide est effectivement à l’origine de la production de deux particules de masse légèrement différente.

La création trinitaire simultanée s’impose logiquement puisque, à la différence du neutron, nous ne pouvons associer aucune anti-particule à l’électron. De fait dans la décomposition β-, (N>p+e+v),le proton et l’électron apparaissent simultanément, ce qui confirme notre hypothèse d’une absence d’anti-électron lors de la genèse primordiale.

V – Les 4 états de  la prématière

Il importe de préciser les quatre seuls états de la substance de l’espace :

Tableau

L’état de prématière ou état fondamental correspond au niveau d’énergie minimum ou inertie absolue et a pour substance celle de l’espace.

L’état ondulatoire correspondant à la mise en mouvement DE la prématière

L’état-lumière correspond au déplacement des photons DANS la prématièreL’état-matière qui est conservation par une masse dite au repos relatif d’une quantité de prématière photonique en son état de mouvement absolu.

Les quatre états de la prématière.

Qui supposent trois seules transitions réversibles :

La transition prématière>onde qui est consécutive à la mise en mouvement de ma prématière.

La transition onde>photon qui est consécutive à la densification des ondes de prématière.

La transition photon>matière qui est consécutive à la rupture du photon et au changement de son mouvement.

Il ne saurait exister d’autres états intermédiaires de la substance de l’espace ni  procédés hybrides de transition en chaque temps de l’objet, lequel ne peut être lui-même et tout autre, ni obéir à une transition conduisant à des effets divergents. Ainsi, aucun objet participant à l’état photonique (boson) ne peut acquérir de masse par exception aux procédures décrites pour la  création de particules de matière permanentes. De même une particule ne peut avoir toutes les propriétés qui sont celles de l’état photonique sans s’annihiler et changer la nature de son mouvement. Enfin ces objets sont réels en tant qu’ils supportent un mouvement effectif et ne sauraient ni participer d’une quelconque virtualité fut-elle provisoire, ni déroger aux lois du mouvement par laquelle une énergie est transmise par un objet ayant un statut physique de réalité.

Les particules virtuelles qui seraient les agents de liaison des différentes interactions n’ont aucun sens dans les nouveaux principes. De même, des associations essentiellement constituées de neutrons dans un état de grande fluidité (comme pour des étoiles à neutrons) ne peuvent exister.

ANNEXE

1- DEFINITION DE L’ENERGIE

Les définitions que l’on rencontre aujourd’hui de l’énergie ne sont guère satisfaisantes et ne nous aident pas à comprendre sa nature. Cela est paradoxal car tout le monde semble savoir ce qu’elles recouvrent. A la limite son extrême évidence nous dispenserait d’une quelconque définition.

L’énergie est définie comme la CAPACITE des corps à fournir du travail ou de la chaleur. Selon l’étymologie grecque, l’energia est assimilable à une force d’action. Pour d’autres, c’est un concept destiné à quantifier les interactions entre phénomènes, que l’on peut comparer à une monnaie d’échange. L’énergie se transmet, se conserve et se transforme.

L’énergie est donc une capacité d’un corps à fournir du travail. Mais qu’est-ce donc que le travail en physique ? Le travail est une force d’action qui est alimenté par une énergie. Si nous unissons les deux définitions, cela donne : l’énergie est une capacité d’un corps à fournir une force d’action alimentée par une énergie. Nous aboutissons à une égalité : énergie= travail, si bien que notre définition apparaît tautologique. Nous n’avons pas progressé aussi, faut-il recourir à une autre définition : c’est un concept destiné à quantifier les interactions entre phénomènes. L’énergie passe de l’ordre du réel à l’abstraction quantitative. Mais qu’est-ce qu’une interaction entre phénomènes ? Il s’agit d’une action mutuelle, laquelle est également alimentée par une énergie. Cela nous donne : l’énergie est une action mutuelle entre phénomènes alimentée par une énergie. Nous sommes toujours dans la tautologie et nous devons essayer une troisième définition : l’énergie engendre le mouvement. Cependant, un mouvement est-il possible sans l’action d’une énergie ? Cela serait également circulaire : l’énergie engendre le mouvement qui résulte de l’action d’une énergie.

Où que l’on se tourne, il nous semble aller en rond, nous ne parvenons pas à saisir un contenu quelconque à ce concept. Mais, s’agit-il d’un concept, d’une idée, d’une abstraction sans aucun contenu de réalité comme nous pourrions parler de l’âme sans jamais pouvoir la montrer, la retenir à deux mains ? Pour le savoir, nous devrions être capables d’isoler de l’énergie, de la conserver comme dans une boite, de la distinguer du corps qui a justement cette capacité à produire de l’énergie, du travail. Si Einstein nous dit qu’une masse conserve de l’énergie, nous devrions pouvoir l’en extraire en tant que telle, la séparer de la masse. Cela ne semble guère possible puisque lorsqu’on annihile une masse, celle se transforme en énergie ou plus exactement en photons et rayonnements.

Ces deux objets physiques seraient-ils alors cette énergie que nous cherchons désespérément à isoler ? Oui, mais ces photons et rayonnements existent comme tels, nous pouvons les détecter, les mesurer et ils ont eux aussi la capacité à transmettre leur énergie, à nous éclairer, à produire du travail. Photons et rayonnements ne sont donc pas un composé de pure énergie. A n’en pas douter, l’énergie est bien un « concept de l’esprit  » transcrivant un phénomène mais que nous ne parvenons pas à saisir dans sa réalité, qui n’existe pas comme phénomène physique et qui pourtant se manifeste en permanence puisque principe de vie fondamental.

Nous arrivons au terme de notre enquête sans être parvenu à un résultat au moyen des définitions courantes de la notion d’énergie. Il nous faut choisir un autre chemin et nous devons nous interroger sur les rapports qui unissent énergie et mouvement qui ne paraissent pas devoir exister l’un sans l’autre.

Si l’énergie est la capacité d’un corps à produire du mouvement, cela est possible parce que ce corps possède déjà le mouvement qu’il transmet : on ne peut donner ce qu’on n’a pas. Ce qui est concrètement transmis, ce n’est pas de l’énergie mais du mouvement, on ne peut jamais mesurer une énergie mais toujours la valeur d’un mouvement. L’énergie comme telle ne se dévoile que dans le mouvement hors duquel elle ne peut « exister ». Elle ne peut donc jamais être isolée, enfermée dans une boite, lorsqu’on corps se déplace, nous voyons l’énergie à l’œuvre « dans » le mouvement sans que pour autant nous puissions l’extraire de ce corps. Il est donc impossible que l’énergie puisse se conserver quelque part comme si on pouvait séparer le mouvement de « ce » qui est à son origine.

L’énergie est ainsi un principe immatériel, c’est la CAUSE qui produit un effet: le mouvement. Mais cause et effet ne peuvent être séparés car ils apparaissent simultanément: lorsque le mouvement se produit, dans le même temps nous voyons sa cause à l’œuvre. Cette simultanéité explique que nous pouvons facilement les confondre et, puisqu’un corps peut effectivement conserver un mouvement, nous pourrions affirmer qu’il conserve son énergie. Or cela reviendrait à dire qu’un corps conserve la cause de son mouvement, que pendant celui-ci la cause de son effet est toujours à l’œuvre. Cela est effectivement vrai, cause et effet ne peuvent être distingués dans la réalité autrement que par une abstraction, un concept. L’énergie est ainsi un concept qui traduit la cause du mouvement. Dés lors, lorsque Einstein nous dit que qu’une particule conserve son énergie, il nous affirme qu’elle garde en elle-même la cause de son mouvement, ce qui suppose que, bien qu’immobile, elle possède un mouvement interne. Ainsi, ce qui peut apparaître comme un ergotage sans fin dont les philosophes se sont rendus maîtres, nous conduit à nous interroger sur le fonctionnement des objets de notre réel et nous demander : quelle est la nature du mouvement conservé par une particule ?

2 – Le mystère de la transsubstantiation de l’énergie en masse

La transformation de l’énergie en masse ou plus exactement des ondes en matière peut s’écrire sous forme d’une formule mathématique  à savoir E = Mc² = hv. Ou plus exactement la transsubstantiation de l’énergie en masse s’écrit de façon réversible :Mc² <=>hv.

Cette réversibilité signifie que l’énergie contenue dans la masse (Mc²) peut se transformer en une certaine quantité d’ondes (v) possédant chacune une énergie (h) et qu’inversement les ondes peuvent engendrer de la masse. Cet aller retour masse<> ondes est une des applications, la plus fondamentale,  du principe de conservation de l’énergie que vient formaliser le théorème de Noether qui montre que cette caractéristique est équivalente à la symétrie des équations physiques par rapport à une translation dans le temps ou l’espace. En d’autres termes il ne peut y avoir de perte d’énergie, sa quantité globale se conserve et passe d’un système à un autre : l’énergie ne cesse de se transmettre.

Et ainsi, l’énergie « conservée » par la masse se transmet aux ondes ou photons qui a leur tour la conservent. Cette transition masse=>photons et photon=> masse est le principe même de La transsubstantiation par laquelle nous assistons à la création et l’annihilation de la matière. La transsubstantiation est, littéralement, la transformation d’une substance en une autre. Le terme désigne, pour certains chrétiens (en particulier les catholiques), la transformation du pain et du vin en chair et sang du Christ lors de l’Eucharistie. Pour nous autres hommes de science, nous assistons à la transformation de l’onde photonique en matière dans le même temps ou l’énergie du photon se transmet  à la masse, laquelle jalousement la conserve. Ainsi, la substance de l’onde se transmue en matière par transmission de son énergie.

Mais peut-on parler ici de transsubstantiation lorsque nous parlons d’ondes ou de photons ? De quelle substance s’agit-il ? Car pour qu’il y ait transsubstantiation, il faut bien qu’une substance existe avant et qu’elle demeure TRANSFORMEE dans un autre objet, et en l’espèce la masse de matière. On peut alors se demander si l’expression « transmettre son énergie » n’est pas un voile pudique qui recouvre  le phénomène de transsubstantiation du photon en matière nous interdisant d’avoir à connaître  la nature et la composition des ondes et des photons.

De plus, quand nous parlons de transmission et de conservation de l’énergie, de quoi s’agit-il ? Qu’est-ce qui est transmis sous « forme » d’énergie et à proprement parler l’énergie a-t-elle une forme, une existence ? L’énergie cinétique est l’énergie que possède un corps du fait de son mouvement réel. L’énergie est un concept créé pour quantifier les interactions entre des phénomènes très différents ; c’est un peu une monnaie d’échange commune entre les phénomènes physiques.

L’énergie est donc un concept, une invention humaine, qui mesure l’état d’un mouvement. C’est essentiellement un être mathématique. Le terme d’énergie cinétique est un pléonasme, une redondance, puisque toute énergie est celle d’un mouvement et partant, du mouvement d’un « quelque chose ». Dés lors, la transmission et la conservation de l’énergie signifie qu’un « quelque chose » transmet à quelque chose d’autre son mouvement, lequel est conservé pour ensuite être à son tour transmis. Appliqué à la transition réversible onde <>matière cela signifie que la substance de l’onde transmet son mouvement à la substance matérielle, ou plus exactement que cette transmission opère une transsubstantiation de l’onde photonique en matière.

Ce n’est pas l’énergie qui se transforme en masse mais la substance de l’onde qui se transforme en matière en transmettant son mouvement. Ce mouvement est conservé par la masse ce qui fait que dans la théorie de la relativité, Einstein établit l’existence de deux formes d’énergie seulement : l’énergie cinétique due à la masse et à la vitesse relative du corps et l’énergie de masse : masse et énergie au repos sont équivalentes. Nous lisons bien sous la plume du plus grand théoricien cette abomination : énergie au repos.

Ainsi, l’énergie qui est principe du mouvement peut être au repos, équivalente au non mouvement. Une masse qui vient de recevoir du mouvement transmit par un photon conserve de l’énergie au repos, ce qui signifie qu’elle conserve du mouvement au repos ! Le repos dont il s’agit est bien sûr celui d’une non translation dans l’espace, ce qui cependant laisse toute entière ouverte la question : mais comment une masse peut-elle conserver du mouvement au repos ? L’avantage de dire qu’elle conserve son énergie ou que l’énergie est l’équivalent de la masse-matière, c’est que, l’énergie étant un concept flou, évanescent, on peut passer sous silence la vraie nature des phénomènes physiques.

Ainsi, une substance inconnue, celle du photon se transsubstantie en matière pour être conservée par celle-ci tout en préservant l’énergie c.à.d. le mouvement transmis par  ce photon.

On est alors en droit de se demander : mais d’où provient cette substance qui compose les ondes et les photons, bref n’y a-t-il pas un mystère inviolé de la transsubstantiation de l’énergie en masse.

Energie de masse et spin des particules

Position générale du problème :

Le modèle de l’atome planétaire a été abandonné suite à différentes difficultés qui nous voudrions tenter de résoudre. Ce modèle réaliste ne s’oppose nullement à la mathématique quantique qui donne d’excellents résultats sur le plan expérimental. Physique classique et quantique ne s’opposent pas mais se complètent : une approche purement mathématique y gagne à être épauler par une description mécanique du phénomène.

Hypothèses :

1) Il existe une énergie de liaison dans l’atome d’hydrogène entre p/e. Nous reprendrons la description classique d’un électron gravitant autour d’un proton. Il faut alors se demander où est puisée l’énergie permanente de la rotation orbitale.

2) Pour expliquer E =mc², la vitesse de rotation d’un point de sa circonférence d’un électron (rayon de spin). doit être  égale à C.  On fera l’hypothèse que la vitesse équatoriale de l’électron reste toujours égale à la vitesse de la lumière quelque soit sa position orbitale.

3) Les calculs classique montrent que l’hypothèse précédente n’est pas vérifiée puisque cela amènerait l’électron à dépasser la vitesse de la lumière. Il faudra prouver que ces calculs du rayon de l’électron (rayon de spin) sont confondus avec celui du rayon orbital de l’électron autour du proton.

4) Il faudra démontrer que l’énergie orbitale a pour origine l’énergie de masse mc².

5) l’hypothèse précédente implique qu’il  existe 2 types de mouvement simultanés de l’électron :

a) La rotation permanente sur elle-même ou de spin de la particule

b) La rotation orbitale autour du proton.

L’énergie de masse de la rotation de spin permet à l’électron de tourner sur lui-même dans le même temps ou il effectue son mouvement orbital autour du proton

6) Consécutivement, la vitesse de rotation de spin n’est pas la même que la vitesse orbitale. La vitesse de spin reste toujours égale à C alors que la vitesse orbitale est toujours inférieure à C, par définition.

Démonstration

I –  Calcul de la vitesse orbitale de l’électron autour du proton

a) Les deux particules sont liées par la FEM

L’énergie de liaison consiste en une perte de masse de la particule considérée à l’état libre mais aussi en une transformation d’une partie de sa vitesse de rotation de spin C en rotation orbitale

Cette perte et cette transformation dépendent de la constante de structure fine α inversée soit 137.035 (sd) soit

E° ½mc²/α² = 13.605 Ev  (1)

Et la vitesse orbitale V° = C/ α = 2187693 m/s

Qui permet de retrouver  l’énergie de liaison ½mv°² = E°

Sachant que la vitesse orbitale (V°) consiste en un « enroulement » de la vitesse de spin  de la particule autour du proton, une fraction  α  de la vitesse C de spin (Vs) est transformée en rotation orbitale

Arguments : Si on pose l’existence d’un mouvement orbital et d’une énergie de liaison, il faut bien que cette énergie vienne de quelque part et notre hypothèse de transformation d’une fraction de l’énergie de spin C² en énergie de liaison se trouve justifiée.

A la différence de la force de gravitation, le proton n’exerce aucun transfert énergétique direct sur l’électron, son attraction a seulement pour effet transformer une fraction de l’énergie de spin de l’électron en énergie de liaison. La quasi totalité de cette énergie provient de l’électron.

Nota : La vitesse orbitale ne doit pas se confondre avec la vitesse de spin qui doit toujours demeure toujours égale à C : une partie de cette vitesse est destinée au mouvement orbital (par conséquent l’électron n’effectue pas un tour sur lui-même par rotation orbitale mais davantage). Cela est tout à fait logique car si toute l’énergie de masse se transformait en énergie orbitale, il y aurait annihilation (ce que nous allons démontrer ci-dessous)

II – Calcul des rayons propres (de spin) des proton et électron.

b) Le rayon orbital est donné par l’équation classique F/E = D

Connaissant l’énergie de liaison ( E° = 13.605 ev) nous aurons

R° = FEM/E° = 5.29177 E-11m

Ce qui correspond à l’équation :

R° = FEM/ mc²/ α²

La calcul du rayon orbital classique (Rc) de l’électron est effectué par la même formule suivante :

Rc =  FEM/ mc² = 2.817 E-15m (1)

Si on applique la formule du moment cinétique M = mvr = h/2

Nous trouvons que la vitesse de  rotation orbitale de l’électron est égale à 2.054 E10 m/s, ce qui est supérieure à la vitesse de la lumière.

Or, cette distance du rayon classique signifie que l’électron s’est rapproché du proton du rayon orbital (de R° = 5.29 E-11m   à Rc = 2.817E-15m ) puisque les équations pour le calcul du rayon orbitale sont les mêmes.

On constate bien dans cette équation ( 1) la disparition de α² qui mesurerait la fraction de l’énergie de spin transformée en énergie de liaison, ce qui signifie que toute l’énergie de masse  a mué en énergie de liaison.

Puisque la rotation orbitale utilise l’énergie de masse C², l’équation ( 1) montre que c’est la totalité de la masse qui se serait annihilée et  transformée en énergie de liaison puisque :

E° = FEM/Rc = mc² = 510998 Ev. (2)
Si l’équation (1 ) nous donne la distance d’annihilation elle ne nous indique nullement le rayon de l’électron.

S’il s’agit de la distance d’annihilation, cela signifie que proton et électron sont à cette distance jointifs et que de fait le rayon classique orbital de l’électron est celui « de spin »du proton puisqu’il s’agit de la distance maximum de l’orbite de l’électron.

On voit donc que ce calcul ne nous indique pas le rayon de spin de l’électron et consécutivement cette équation est incapable de montrer que sa vitesse de spin en un point de sa circonférence dépasse C.

Mais de fait, l’électron ne pourra jamais se rapprocher à cette distance d’annihilation du proton pour la simple raison qu’il est maintenu constamment à distance R° par le système d’ondes mutuels et qu’ainsi la fameuse « catastrophe électromagnétique » ne peut jamais mécaniquement se produire.

Compte tenu de la différence de masse Mp/me, on peut approximativement calculer le rayon de spin de l’électron qui serait de l’ordre de 2.3012 E-16m ( à rapprocher de la longueur d’onde du proton 2.103 E -16m, problème intéressant à étudier)

Dés lors la densité de la matière serait de l’ordre de 1.78 E16 Kg/m3 (et non de 9.71 E 12 kg/M3 s’il s’agissait du rayon de l’électron) ce qui nous rapproche des valeurs observées ( pulsar D = 1 E 14kg/m3)

Conclusions :

1) Le spin des particules n’est pas un phénomène seulement mathématique mais correspond à un effet bien réel qui explique la conservation de l’énergie de la particule mais aussi l’origine de l’énergie de liaison. Pour comprendre l’équation E =mc², il faut bien que la particule soit en mouvement (rotation) pour conserver l’énergie car il n’y a pas d’énergie de masse qui vaille sans mouvement. De même, s’il y a rotation orbitale de  liaison, il faut bien qu’un corps soit en mouvement et que celui-ci soit agit par une énergie.

2) L’énergie est le signifiant qui représente une signifié réel : le mouvement effectif.

3) Lorsqu’il y a création de particule à partir d’un photon, c’est bien la quantité de mouvement de celui-ci qui est conservé par la particule. Il ne peut y avoir conservation de l’énergie sans conservation d’une quantité de mouvement. Inversement, c’est cette quantité de mouvement effectif qui est transmise au photon lors de l’annihilation de la particule.

4) La relativité s’applique à une particule en mouvement relatif mais pas à une particule au repos mais en rotation sur elle-même. Il faut différencier mouvement de spin et mouvement de translation dans l’espace. Dans P = mv, nous avons une masse et une vitesse. Or à P est l’expression même d’un mouvement mais la relativité interdit d’écrire P =m.c puisqu’un corps ne matière ne peut aller à la vitesse de la lumière. Or cet interdit ne concerne que le mouvement relatif mais pas le mouvement de spin propre de la particule considéré « en lui-même »