7 – Création en ligne des astres et mouvement de gravitation

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1- la création en ligne des astres

Toutes les planètes du système solaires, les étoiles binaires, les systèmes d’associations d’étoiles contemporaines, sont alignées sur le plan équatorial.

Les astres ne peuvent surgir de façon dispersée et aléatoire autour d’un astre central. Un même phénomène fondateur les organise selon une ligne de force, ce qui implique que les astres alignés demeurent en l’état depuis une origine créative commune. L’alignement des astres du système solaire correspond donc à un phénomène unique et simultané et nous pouvons considérer que cette organisation représente le mode universel de surgissement et de structuration de tous les systèmes d’étoiles.

La création des embryons stellaires s’effectue le long d’une onde de choc qui traverse et ébranle la substance de l’espace. Tout porte à croire que cet alignement se situe sur le parcours de cette onde. S’agissant des astres du système solaire nous devons supposer qu’il s’agit d’un unique événement ayant donné naissance à la totalité des corps qui le composent. Dés lors, il ne pourra s’agir que d’une onde de choc unique  provocant de multiples brisures au sein de cette la substance de l’espace compressée, points de rupture qui sont autant de lieux d’où surgissent les embryons d’étoiles.

Ces points de rupture ne sont pas distribués au hasard et doivent correspondre à des crêtes d’une onde de hauteur variable. De fait, les distances entre les embryons créés doivent relever d’une loi de proportionnalité et  ne peuvent être imposées que par un phénomène qui relève du système d’ondes longitudinales.

Or, s’agissant d’un ébranlement se manifestant sous forme ondulatoire, une même énergie initiale comporte son point de densité centrale et un decrescendo symétrique de chaque côté de ce point. Ceci veut dire que nous aurons un astre central toujours le plus massif, un astre d’une masse nettement inférieure qui lui serait en quelque sorte symétrique, et un dégradé de masses que nous pouvons associer par paires de valeur à peu près équivalentes mais non semblables (la différence tenant à la direction d’application de la force de l’onde principale et celle répercutée en retour qui se développe derrière le point de rupture central).

Choc-en-retour

La création se fait de part et d’autre du point central qui donne naissance à l’astre le plus massif. Les astres situés sur la direction principale de la force sont plus massifs que ceux constitués par le choc en retour de l’onde. De fait, la masse des étoiles jumelles ne saurait être strictement  identique.

Les étoiles se forment par propagation d’une onde de choc au sein de la prématière. De ce fait, la création se fait en nombre, en grappes autour d’un astre central le plus massif. Les étoiles de masse solaire moyenne ne peuvent donc jamais naître de façon isolée. Elles disposent souvent d’un cortège de planètes.

Ce mode de création en grappes explique pourquoi la répartition dégradée des valeurs de masses suit une loi selon laquelle les astres sont d’autant plus nombreux qu’ils sont moins massifs. Cependant, puisque l’émergence du cœur d’une étoile dépend d’une onde de choc, celle-ci peut être de faible intensité pour n’engendrer qu’un seul astre. Il peut exister – et il exister effectivement – des naines brunes solitaires, voire des planètes massives éloignées de tout système structuré.

2- L’origine du mouvement gravitationnel

Les astres surgissent fréquemment par paires, plus ou moins nombreuses, selon une ligne de force suscitant une brisure au sein de la substance de l’espace, à partir de laquelle l’embryon nucléaire se développera. Ils se constituent en un système lié avec l’astre central le plus massif, ainsi que nous le constatons dans notre organisation solaire. Ce rapport congénital de proximité peut laisser penser que les étoiles entretiennent un rapport d’attraction mutuel  de gravitation dés l’origine. Or un mouvement de gravitation exige un équilibre entre forces centripète et centrifuge. En l’absence d’une énergie centrifuge conservée, nous sommes dans une situation classique où une masse devient pesante et chute sans résistance vers le corps attractif.

Depuis Newton, la physique a toujours considéré comme « allant de soi  » le principe de gravitation des astres selon lequel la force centrifuge des planètes compensait naturellement l’attraction solaire. Elle ne sait jamais demandé d’où provenait le potentiel de résistance centrifuge d’un astre qui lui permettait de ne pas tomber comme une pierre vers le soleil. La cosmogénèse standard, qui prévoit tout à la fois la concentration d’une vaste masse de gaz et sa fragmentation à l’origine de la constitution d’astres liés dans un système, ne semble pas plus soucieuse de s’interroger sur la cohérence de ce double mouvement de forces contraires, à la fois attractives et centrifuge.

Un corps quelconque abandonné dans l’espace ne possède pas d’inertie propre de masse autre que celle relative à l’attraction d’un autre corps (si nous faisons abstraction de la résistance qu’oppose la substance de l’espace, surtout sensible aux vitesses proche de celle de la lumière). Dans un système à 3 corps de masse décroissante A, B, C, la résistance de B à l’attraction de A plus massif ne peut provenir que de C moins massif. Or la différence brute des forces entre A et C fera que la force de A s’imposera et B devra chuter vers A. On ne saurait donc imputer l’origine de la force centrifuge à la force de gravitation elle-même, selon une opération d’addition des masses qui retiendraient l’astre attiré.L’opération inverse semble également interdite qui consisterait à cumuler les masses attractives telles qu’existerait au centre de l’univers un ensemble de corps hyper massifs autour duquel l’attraction universelle concentrerait tous les corps. Or l’univers étant infini, il ne peut exister aucun centre, aucun lieu unique de ce type. Si l’attraction universelle trouve ainsi naturellement ses limites, c’est que d’une part la force d’attraction n’a pas une portée infinie que d’autre part, pour fonder le mouvement de gravitation, doit exister un principe de résistance à celui-ci.

Cette inertie détenue par un astre doit résulter d’un mouvement centrifuge réellement accompli et conservé par la masse, comme nous le constatons pour les satellites terrestres artificiels dont l’orbite et la vitesse orbitale consécutive, dépendent de la vitesse de libération. Quand une attraction est constatée entre deux corps célestes, il est généralement supposé que ces corps gardent leur distance d’origine ou qu’ils ont entamé depuis un mouvement de rapprochement à partir de leur distance respective de naissance. Dans cette cosmogénèse standard, il ne peut être imaginé aucun mouvement d’éloignement des protoétoiles à partir duquel se constituerait une force d’inertie. L’attraction joue  pour la constitution de l’étoile par effondrement d’un nuage et définit la nature physique des liens entre astres créés dans une zone donnée. Tout se passe comme si chaque astre se constituait de façon autonome, abstraction faite de la force de gravitation existant entre deux masses gazeuses après fragmentation et qu’ensuite, une fois effondrées, elles se trouvaient dans un rapport d’attraction. Ceci suppose de pouvoir concilier à la fois un mouvement de fragmentation et donc d’éloignement de  plusieurs nuages et une attraction qui s’établit entre ces masses une fois constituées en protoétoiles. Cette contradiction insurmontable explique que la question de l’origine de la force d’inertie gravitationnelle ne peut être posée correctement dans le cadre de la théorie standard : sa solution aurait remis en cause ses propres fondements.

La théorie de la substance de l’espace échappe à cette contradiction  puisque le recours à l’hypothèse de la naissance en grappe à partir d’une onde de choc lui évite d’avoir à se questionner sur le mode de fragmentation d’un nuage. Il s’agit  de construire une hypothèse en accords avec les principaux postulats de la théorie de la substance de l’espace, qui mettrait en place une force centrifuge antérieure à l’exercice d’une force centripète d’attraction. En effet, une fois un rapport institué entre deux astres, la force d’attraction s’établit durablement et ne saurait  être tempérée par une force opposée. S’agissant d’un phénomène premier, il faut le relier à l’époque originelle  d’une étoile, aux procédures et modalités de sa naissance. Nous devons concevoir simultanément un processus de création et d’apparition d’un mouvement de recul centrifuge entre deux astres.

Nous avons posé comme hypothèse que les astres naissent d’embryons qui croissent en augmentant leur masse de matière sous forme de particules de haute énergie et de très grande vitesse. Dans les premiers temps de leur création, par définition, les masses en jeu sont faibles : sur la ligne de brisure commune, ce n’est donc pas l’attraction qui joue mais au contraire la répulsion qui augmente en proportion que s’élève le flux de particules créées, les embryons les plus massifs éloignant les moins massifs. Ce mouvement répulsif perdure tant que les astres sont en phase de croissance, mais au fur et à mesure que les corps s’éloignent, que le flux éjecté de matière nouvelle diminue, que les corps se condensent, qu’une part croissante de matière est retenue par effet d’auto attraction, le mouvement d’échappée se ralentit, l’attraction tend à équilibrer la répulsion et commence lentement le mouvement de gravitation (car auparavant, les embryons restaient plus ou moins alignés).

Ainsi, dans une phase initiale de croissance, les astres jeunes tendent à s’éloigner et à acquérir l’énergie cinétique nécessaire par la suite à l’exercice du mouvement gravitationnel. Il s’agit d’un mécanisme simple d’acquisition par chaque astre d’un mouvement propulsif autonome en parfaite adéquation avec les observations.

THEORIE ET OBSERVATIONS

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1 – Compte rendu d’observations: système binaire d’étoiles

Systèmes binaires : Des astronomes ont imagé en détail un jeune système d’étoiles multiples, apportant des indices importants sur la façon dont de tels systèmes se sont formés. La plupart des étoiles de la taille du Soleil ou plus grandes dans l’Univers ne sont pas seules, comme notre Soleil, mais sont des membres de systèmes binaires d’étoiles. Les astronomes sont divisés sur la façon dont de tels systèmes peuvent se former, produisant des modèles théoriques concurrents.

Les modèles théoriques populaires pour la formation de système multiples d’étoiles sont, premièrement, que les deux protoétoiles et leurs disques de poussières proviennent de la fragmentation d’un plus grand disque, et, deuxièmement, que les protoétoiles se forment indépendamment et que l’une capture l’autre dans une orbite commune.

Les données obtenues avec le VLA suggèrent qu’il pourrait y avoir plusieurs  manières de former un système multiple d’étoiles.

Commentaires :

Selon la théorie classique de formation des étoiles, un nuage doit se fragmenter puis se condenser séparément et, dans un deuxième temps,  la plus massive capture l’autre gravitationnellement. La question est alors de savoir POURQUOI un nuage se fragmente de façon inégale et pourquoi la masse de nuages interstellaires la plus importante ne satellise pas la moins massive dès l’origine.

Il faut alors imaginer une théorie de la capture pour expliquer la satellisation. Mais pour les astres solitaires, on explique cette fois qu’ils ont été éjectés du système lié.

Dans la théorie des nouveaux principes, les étoiles naissent par grappes immédiatement appareillées à partir d’une unique onde de choc mais elles peuvent aussi bien apparaître en solitaires.

2 – Compte rendu d’observations : quatuor rare d’étoiles.

Des astronomes ont trouvé un quatuor de très rares étoiles qui sont en orbite autour de l’autre au sein d’une région plus petite que l’orbite de Jupiter autour du Soleil. Leur spectre révèle quatre étoiles disposées en deux paires. Les astronomes se demandent comment elles auraient pu naître de cette façon dans le disque dense de gaz dans leur jeunesse.

Cette découverte de l’étoile appelée « BD -22 ° 5866″ est vraiment un système très rare d’orbite de quatre étoiles. Au moment de l’observation, deux des étoiles étaient en orbite autour de l’autre à 133km/s (300000 km/h), tandis que la seconde paire se déplace à la plus Modeste vitesse de 52 km / s (120000 km / h).

En utilisant ces vitesses et les « masses, les astronomes ont pu déterminer la taille maximale de leurs orbites bizarrement serrée. Moins de 1 étoile observée sur 2000 pourrait être étroitement lié à de tels systèmes, rendant ce quadruple système stellaire extrêmement rare.

La  configuration extraordinairement serrée de ce système stellaire nous dit qu’il a pu y avoir un seul disque gazeux  compte tenu de si petites orbites dans les 100000 premiers années de leur évolution, et que les étoiles ne pouvaient pas avoir été formée si proches les uns des autres. C’est le premier témoignage d’un disque complet englobant quatre étoiles », dit le docteur Shkolnik.

Commentaires :

Le modèle standard de la formation des astres est incapable de décrire comment s’effectue la fragmentation d’un seul nuage stellaire pour aboutir à la création de deux paires d’étoiles reliées gravitationnellement.  L’hypothèse proposée par la nouvelle genèse stellaire est plus simple et cohérent: les 4 embryons stellaires naissent simultanément à partir d’une seule onde de choc dans la substance de l’espace. Les astres se trouvent donc immédiatement alignés sur le plan équatorial et reliés par la gravitation

3 – Compte rendu d’observations: Le mouvement du pulsar Geminga:

Le pulsar Geminga, étoile dite à neutrons la plus proche de la Terre, vient d’être observé par le satellite XMM-Newton. Deux immenses traînées symétriques, dues à l’onde de choc de matière éjectée du pulsar qui se déplace à une vitesse supersonique, ont été détectées.

Début 1992, les chercheurs découvrirent de faibles variations d’intensité dans les émissions gamma et X reçues de l’objet pouvant être Geminga et confirmèrent que cette étoile à neutrons se comportait bien comme un pulsar, sans pour autant observer d’émission en onde radio généralement associée à ce type d’objet et sans mettre en évidence une nébuleuse (reste de l’explosion de la supernova) dans son voisinage.

Ses images furent alors comparées avec celles réalisées en janvier 1984 et aussi avec une image plus récente obtenue avec un autre télescope de l’ESO, en janvier 1987. L’évidence éclata. Par rapport aux autres objets dans le champ d’observation, Geminga avait bougé. La distance couverte par Geminga entre janvier 84 et novembre 92 est de l’ordre de 1,5 seconde d’arc. En d’autres termes, Geminga bouge avec une vitesse relativement grande et inhabituelle de 0,2 seconde d’arc

En clair, cela signifie que dans le ciel, Geminga couvrirait une distance égale au diamètre apparent de la Lune (30 minutes d’arc) en près de 10 000 ans. Peu d’étoiles bougent aussi vite.

Commentaires:

En l’Interprétant dans le cadre de la nouvelle théorie nous pouvons conclure:

1) Qu’un astre tout à la fois tourne sur lui-même et se déplace dans l’espace

2) Que le déplacement rapide d’un astre signale un astre très jeune.

3) Consécutivement, un pulsar est bien un astre très jeune.

4 – Compte rendu d’observations: Une des plus rapides étoiles jamais vues a été découverte

Un boulet de canon cosmique défie les théories pour expliquer son allure fulgurante. Les astronomes ont utilisé Chandra pour observer une étoile à neutrons, connue sous le nom de RX J0822-4399, pendant environ cinq ans. Au cours de cette période, les observations de Chandra ont clairement montré que l’étoile à neutrons s’éloignait du centre du reste de supernova Puppis A. Les astronomes pensent que Puppis A a été créée quand une étoile massive a terminé sa vie dans une explosion de supernova il y a environ 3.700 ans, formant un objet incroyablement dense appelé une étoile à neutrons et relâchant des débris dans l’espace.

L’étoile à neutrons a été éjectée par l’explosion. En combinant à quelle distance elle s’est déplacée à travers le ciel avec sa distance à la Terre, les astronomes ont déterminé que le boulet de canon cosmique se déplace à plus de 4,8 millions de kilomètres par heure.

Les résultats de cette étude suggèrent que l’explosion de supernova était de côté, lançant l’étoile à neutrons dans une direction et une grande partie des débris de l’explosion dans l’autre.

Commentaires:

A l’évidence, le recours à l’explosion d’une supernova explique nombre de phénomènes! Mais lorsqu’une étoile explose, ses éléments se dispersent dans toutes les directions. De plus, l’étoile à neutrons supposée être Pupis A. constitue d’après l’astrophysique standard, le cœur de la supernova. On ne voit pas très bien comment le cœur a pu se propulser lui-même! Il faut alors inventer une « explosion de côté » pour un astre, un peu comme si une pomme se fendait en deux.

Selon la nouvelle théorie, les astres à leur naissance ont un mouvement de rotation sur eux-mêmes extrêmement rapide et sont très denses. Il suffit qu’ils rencontrent un obstacle pour que cette rotation se transforme en mouvement de déplacement incurvé. L’observation ne dit pas la nature de ce mouvement qui ne doit certainement pas être rectiligne mais décrire une courbe.

5 – Rapport d’observations : éloignement des étoiles naissantes

Dans les amas ouverts comportant quelques centaines d’étoiles toutes jeunes et situés sur le même plan galactique on remarque des étoiles chaudes (pop I) et souvent variables (T Tauri), dynamiquement instables, qui s’éloignent à 12 Km/s de leur centre commun. Les étoiles jeunes des systèmes d’association sont en train de se disperser comme le montre la mesure de leurs vitesses radiales, ce qui n’est pas le cas pour les amas globulaires, comportant de vieilles étoiles, dont le mouvement est gouverné cette fois par les principes de la gravitation.

Dans la constellation d’Orion, trois étoiles jeunes de type O, B, s’éloignent d’un point unique. Deux de ces étoiles AE Aurigae et µ Colombae ont pris des directions de fuite diamétralement opposées.

Commentaires :

La théorie de la genèse par effondrement est toute entière gouvernée par la loi de la gravitation. Ici, elle ne semble absolument pas jouer puisqu’au contraire les étoiles jeunes s’éloignent alors même qu’elles n’ont pas fini leur phase de contraction. La théorie standard est donc incapable d’expliquer ce phénomène parfaitement intégré dans la nouvelle théorie. Dès l’origine en effet, les étoiles produisent et éjectent en abondance de la matière et c’est ce phénomène répulsif qui est à l’origine de leur éloignement réciproque (avec leur rotation propre).

La tendance générale dans un système d’étoiles est le développement de la force d’attraction et le rapprochement des astres à mesure que les corps se refroidissent. On devrait donc observer un rapport entre la distance et la catégorie spectrale : plus un système est jeune, plus la distance moyenne serait grande et inversement. Par exemple 51 Peg est une étoile plus vieille que le soleil et de température de 1300°. Elle est couplée à un astre très proche d’une période orbitale de 4 jours et de masse égale à une demi-masse jovienne. De même, de nombreuses exoplanètes, naines brunes de masse inférieure pour la plupart à 10 masses joviennes ont été observées à des distances anormalement proche de leur étoile centrale.

Ainsi, dans une phase initiale de croissance, les astres jeunes tendent à s’éloigner pour acquérir ainsi l’énergie cinétique nécessaire pour ensuite résister à l’attraction gravitationnelle qui va les rapprocher. Il s’agit d’un mécanisme simple d’acquisition par chaque astre d’un mouvement propulsif autonome en parfaite adéquation avec les observations.