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Comme pour notre précédent travail en mécanique générale des particules, il s’agit d’exposer dans ses grandes lignes une théorie générale cosmologique en procédant au préalable à une réfutation des thèses en vigueur aujourd’hui.

S’agissant d’une théorie radicalement nouvelle, il se trouve peu de points de rencontre et de nœuds de connexion avec l’astrophysique contemporaine, la plupart des observations et des données fondamentales actuelles recevant dans la cosmologie nouvelle une interprétation différente.

C’est cette contrainte de nouveauté qui nous a obligé à nous en tenir à l’essentiel et à nous appuyer bien peu sur des exemples et  les acquits actuels de l’astrophysique contemporaine. Puisse le lecteur être ébloui comme nous l’avons été par la magnificence de la Création et la simplicité de ses lois.

Ce livre 2 consacré à la cosmophysique ne peut se comprendre qu’en liaison  avec la première partie qui met en place une conception nouvelle d’un espace  plein ayant une réalité et un statut indépendant de la matière. Les  développements qui vont suivre sont en complète opposition avec  l’astrophysique et la cosmologie standard, la théorie du big-bang et de l’expansion de l’univers tout autant que celle de l’effondrement gravitationnel qui décrit les modalités de la genèse des étoiles.

Cette divergence s’énonce dès  l’exposé des premiers principes et on ne saurait  nous reprocher de n’être  pas  en accord avec le modèle dominant. Pour mieux saisir les raisons de ces  désaccords, nous invitons le lecteur à se reporter à la partie critique afin qu’il ne  ne soit pas dit que nous ignorons ce qu’il en est des thèses contemporaines.